Le prochain DLC de Deadcells vient d’être annoncé, ça va faire plaisir à mon fanboy de fils qui aime un peu trop la série Castlevania ! Et en plus ça vient d’un studio de chez nous, donc 40 ans après Ulysse 31 ça fait du bien une coop francojaponaise 🙂
Un steam Noël
Pour le coup, j’ai un peu de retard, car nous sommes aujourd’hui le 28 décembre 2013, et ce billet aura donc moins d’impact que si je l’avais décoché dix jours avant… Enfin, l’information en soi mérite quand même d’être écrite, car l’événement s’il en est, se répète assez régulièrement.
Le jeu vidéo n’étant plus l’apanage des plus jeunes (il n’y a qu’à voir le succès insolent de vieux concepts ludiques sur Facebook), je me suis retrouvé le jour du 25 décembre avec différentes personnes autour de la table, me sondant pour savoir quelle bonne affaire je pouvais leur conseiller pour égayer leurs activités vidéoludiques maintenant éveillées et gourmandes de nouvelles saveurs, si possibles à juste (et bas prix). Comme toujours, on a tendance à imaginer que ce qu’on considère comme une évidence l’est pour tout le monde, mais lorsque je prononçais le sésame magique « Steam », je découvrais avec stupeur que mon auditoire restait attentif et concentré (non ce ne sont pas des synonymes, l’un suppose l’écoute, l’autre la réflexion… sisi !). Continuer la lecture de « Un steam Noël »
Déception pour le 9ème anniversaire de Wow
Ce 18 novembre de l’an 2013, Blizzard fête la neuvième année d’existence de son Mmorpg « World of Warcraft », et beaucoup de joueurs (notamment les plus anciens) attendaient, sans trop y croire, une belle surprise de la part de l’éditeur. Malheureusement, Blizzard a finalement reconduit sa stratégie des trois dernières années consistant à fournir un bonus de progression (expérience+réputation) renouvelable, valable sur une semaine. Fini le temps des mascottes, et à la place une carotte qui l’air de rien, définit une vision du jeu en ligne complètement périmée. Une grosse déception, qui s’ajoute à toutes celles qui ont défilé cette année (contenu patch inintéressant, balance des classes complètement déséquilibrée, extension monothèmatique ennuyeuse et répétitive, latence inégale, qualité de l’accompagnement en jeu caricaturale, etc.). Continuer la lecture de « Déception pour le 9ème anniversaire de Wow »
Problème de latence dans Wow : la solution VPN
Suite à mon dernier article sur Wow, dans lequel j’exprimais toute la frustration d’un client/usager complètement délaissé par ses fournisseurs de prestation (le FAI & l’organisation ludique), j’ai été tenté d’annuler mon abonnement et partir ailleurs. Cependant, après près de 10 années de jeu, arrêter ainsi équivalait à jeter aux orties tout le capital patiemment amassé. Par capital, j’entends le résultat de toutes les heures passées dans le jeu, me permettant tout de même de disposer d’un certain confort dans l’expérience ludique, et d’un nombre confortable de biens numériques acquis péniblement et qu’il serait fastidieux de recouvrer ailleurs. Continuer la lecture de « Problème de latence dans Wow : la solution VPN »
Gros lag dans Wow : endgame ?
Wow et moi c’est une vieille histoire. Ou plutôt, Blizzard et moi, c’était du sérieux, une relation de près de 20 ans, vécue dans la passion et une certaine tendresse qui m’autorisaient parfois de beaux moments de nostalgie. Mais depuis le 22 septembre 2013, quelque chose ne tourne plus rond. Latence élevée, bugs récurrents et insupportables, freezes interminables… je ne reconnaissais plus le jeu qui m’avait assuré, pendant près de dix ans, un service technique stable et confortable. Dans ce genre de cas, on cherche le responsable, on se dit qu’il y a une troisième partie qui fout le bordel dans la relation, qui sème la zizanie. Le bouc-émissaire à la mode, en ce moment, c’est Free, et quand j’ai demandé des explications, on m’a de suite nommé le terrible agitateur qui a fait tant de mal aux prestataires en téléphonie mobile… un mal proportionnel au bien qu’il a procuré aux utilisateurs de ces mêmes services. Tout est affaire de point de vue, comme toujours.
La géopolitique sauce World of Warcraft
Le premier mai, je m’adonnais bassement au pvp dans le jeu World of Warcraft, lorsque j’arrivais dans un « Bataille pour Gilnéas » bien mal en point… mais j’eus l’intense plaisir d’assister à un travail de commentateurs que n’aurait pas renié le duo Larqué/Roland, ou le binôme de vieux râleurs du Muppet Show. Pour les néophytes, et je sais qu’il y en aura, j’ai placé les dialogues initiaux à gauche, et la traduction à droite. Belle analyse de la situation, mais à la toute fin de la rencontre, un expert va briser inopinément, d’une seule sentence, le phénoménal travail de ces deux analystes, apparemment pas aussi informés qu’ils le pensaient. Une tentative d’explication des événements à la croisée de l’économie, de la sociologie et de la géopolitique.
Fermeture de LucasArts : une erreur de communication ?
La fermeture de LucasArts annoncée par Disney, et qui a fait l’objet d’un article nostalgique dans ces colonnes, continue de faire du bruit, mais devant tant de fureur et de haine, certains se risquent à une analyse moins partisane de cet événement. Ainsi, sur ce site, j’ai pu découvrir une réflexion intéressante, justifiant en partie le choix de Disney. Et c’est vrai que le journaliste n’a pas tort quand on pense aux franchises abandonnées, trésor dormant en cette période obsédée par les revival 2.0 Hd. Maintenant, c’est tout de même une sacrée erreur de communication à laquelle nous assistons, car il démontre une certaine négligence d’un public dont Disney vient tout de même d’acquérir d’importants vecteurs d’intérêt.
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Le coté obscur de la farce – Adieu LucasArts
Je ne prétendrai pas être l’auteur de ce titre comique, je me demande même si ce n’est pas chez Mel Brooks où mon inspiration a trouvé sa substantifique moelle… Peu importe, c’est tout à fait ce que j’ai pensé en découvrant ce jour l’annonce de la fermeture du studio mythique LucasArts. Vu sur allocine.fr, un article bien foutu sur la question, évoquant d’ailleurs les prises de position en mode girouette de l’actuel PDG de Disney…
Pour tous les gamers qui entretiennent un peu d’affect pour l’histoire du jeu vidéo, c’est la fin d’une marque mythique, avec ce logo au look de peinture rupestre qui annonçait très souvent du vrai et pur plaisir ludique. Je pense notamment aux Monkey Island, Zak Mc Kraken, Maniac Mansion, ou encore les jeux d’aventure avec Indiana Jones, et plus encore, la saga des X-Wing, particulièrement bien réussie (je les ai à peu près tous dans ma ludothèque). LucasArts a contribué de manière historique au genre naissant du jeu vidéo, en démontrant à de nombreuses reprises qu’un point de vue cinématographique pouvait être appliqué au jeu vidéo.
Apparemment, si on se fie aux propos tenus dans l’article (mais que je n’ai pas de raison à mettre en doute), tout ça pour du business de licence, exercice ô combien moins risqué que le développement et la création pure et dure. Beaucoup ont grimacé en apprenant le rachat des franchises de Lucas par Disney, et ce genre d’événement n’est pas fait pour leur donner tort.
Bubble Bobble le défi
Ce week-end, challenge inter-générationnel relevé avec l’achèvement du mythique Bubble Bobble de Taito, avec mon fils… qui passe plus de temps à me dérober mes fruits âprement mérités à coups de bulles vengeresses, qu’à chercher les solutions des énigmes. D’un autre coté, il a de jolis réflexes le gamin, ça me fout un coup de vieux quand je vois comme il saute dans tous les sens.
C’est pas pour dire, mais ce jeu est une démonstration du pixel fantôme, bien avant les bugs de texture des jeux 3D actuels. Mention spéciale au niveau 99, qui ne peut être terminé (enfin si j’ai tout bien compris) que par le second joueur, vu que l’accès au monstre dans sa cage à lapins, au centre de l’écran, n’est pas accessible par la gauche (à se demander s’il n’y a pas un message politique).
J’imagine même pas l’argent dépensé en salles d’arcade dans les années 80 pour le finir complètement…
The Secret World épisode 6 : un parfum d’Indiana Jones
Dans le monde très opportuniste des Mmorpg, Secret World fait figure à la fois de challenger et d’iconoclaste. Alors que la majorité des titres empruntent leur thématique à l’univers de la fantasy ou de la science-fiction, le jeu de Funcom trouve son originalité en proposant une expérience de jeu dans un univers contemporain, dans des lieux existant réellement, comme par exemple la ville de Kingsmouth (enfin sans les zombies), petite bourgade américaine située dans le Maine. La storyline oppose trois factions, ou plus précisément trois sociétés secrètes : les Illuminati, les Templiers, et les Dragons.
En découvrant le jeu lors de sa sortie en juillet 2012, j’avais personnellement été particulièrement attiré par le concept novateur de proposer une expérience virtuelle dans un contexte « réaliste » (nous parlons bien du décorum et de la géographie des lieux). Par le passé, il y avait eu des projets similaires jamais réellement achevés (comme un jeu basé sur l’univers de Matrix qui semblait bien parti), ou des effets de mode très éphémères (The Second Life), mais à chaque fois, la difficulté d’associer un véritable contenu ludique avait finalement fait défaut et révélé un produit vide, l’intérêt se limitant aux premiers ébrouements et émerveillements d’une toute nouvelle réalité virtuelle. Alors, The Secret World, novateur en quoi ? Essentiellement, pour sa ligne scénaristique à la fois ambitieuse et risquée, mais également en grande partie pour ses mécanismes de jeu, à la fois bien pensés et suffisamment originaux pour s’avérer jouissifs à manipuler. Au niveau du scénario, l’histoire se basent sur trois factions qui renvoient aux différentes théories du complot et son panel de sociétés secrètes. Des groupuscules mythiques dont nous entendons régulièrement parler au détour d’un fait médiatique ou d’une théorie tarabiscotée expliquant certains faits insolites. Je me rappelle récemment d’un reportage sur la TNT, avec en mire la Statue de la Liberté, décrite comme un symbole cyniquement inversé qu’aurait placé les fameux Illuminati dans la baie de New York;. Bien entendu, les journalistes dudit programme s’ingénieront à démontrer toute l’énormité de cette théorie, en adoptant finalement le dogmatisme de ceux qui se contentent du fameux bon sens (cette fameuse alternative bourgeoise à la foi, pour reprendre le sens et le vocabulaire chers à Roland Barthes), pour anéantir toute hypothèse paranoïaque. Dommage, c’était marrant.
« – Mais ma bonne dame, si des organisations secrètes dominaient le monde, ça ferait longtemps qu’on s’en serait rendu compte.
– Sauf s’ils font bien leur boulot, Monsieur. »
Quoi qu’il en soit, la théorie du complot reste une théorie, car il faut bien avouer que des deux cotés, les preuves ne résistent jamais à l’épreuve de la vérification Et pour cause, l’interprétation est la clé de tous ces raisonnements, et il n’y a jamais rien de vraiment tangible pour véritablement attester de la réalité d’une politique secrète dominant le monde. Si c’était le cas, d’ailleurs, merci de corriger le tir, pour l’instant c’est pas grandiose comme résultat.
Avec une petite recherche googléenne, vous trouverez pas mal de sources traitant la thématique des groupes cachés et mondialement actifs, sectes, loges, chambres, et autres petits mots de vocabulaire évoquant les chuchotements et les cérémonies secrètes. Personnellement j’ai bien aimé le site « actualitedelhistoire.over-blog.com », qui traitent de certains sujets sensibles avec un propos libertaire et une volonté d’argumentation que je trouve louables (l’analyse du phénomène sociétal et du détournement de fonds publics que fut l’affaire de la grippe H1N1 me semble, par exemple, très judicieuse). La page consacrée aux Illuminati est très bien pourvue et vous permettra de vous familiariser si vous le souhaitez, à cette ambiance d’alcôve qui entoure ces théories du complot et tous leurs groupuscules de manipulateurs de masse.
The Secret World considère donc ces faits comme bien réels, et oppose trois factions, qu’on pourrait décrire comme étant guidées par des motivations complètement différentes, la domination du monde devenant la condition imposée à l’accomplissement de leurs desseins. En osant la synthèse, nous dirons donc que :
– les Illuminati : représentent les sociétés secrètes opposées au pouvoir étatique, à la démocratie, prônant un gouvernement par une élite disposant de tous les moyens intellectuels et financiers pour imposer son (ses) point(s) de vue. Leurs desseins ne sont nullement maléfiques, simplement ils se situent dans une logique assez pessimiste concernant la possibilité de la société de s’appuyer solidement sur la démocratie et les principes égalitaires pour parvenir à une certaine forme de stabilité économique et politique. Ils sont généralement opposés à toute religion, qui ne peut être qu’obscurantisme. Et ils aimes les triangles dans les logos.
– Les Templiers : la faction animée par des principes métaphysiques et spirituels, riche d’un héritage judeo-chrétien prônant des valeurs de partage et de miséricorde. S’appuyant sur un héritage culturel millénaire, sur une imagerie et une iconographie inspirante, les Templiers sont les protecteurs du temple qu’est le monde. Ils sont profondément opposés aux autres camps tout en ayant adopté un point de vue conciliant pour éviter les affres d’une rivalité affichée. Et ils détiennent la vérité, ce qui n’est pas rien dans ce monde de mensonges (à moins que…). Eux ils aiment les croix, limite du fétichisme.
– Les Dragons : le Yin et le Yang, soit une mentalité orientale beaucoup moins manichéenne qu’en occident. Poursuivant des buts secrets, ils prônent notamment la théorie du chaos d’où peut surgir le renouveau. Du moins si j’ai bien compris la scène introductive, car je n’en ai pas croisé pour l’instant beaucoup dans le jeu. En gros, s’ils vous charcutent au détour d’un champ de bataille multijoueurs, n’y voyez rien de personnel. Et je ne sais pas trop ce qu’ils aiment, utiliser le symbole du Tao fait un peu cliché maintenant, le directeur artistique de Funcom n’aurait pas osé.
Dès le début, le jeu vous propose d’intégrer l’un de ces trois groupes, et vous évoluez immédiatement dans une ville contemporaine où vous découvrez les dessous de l’histoire et on vous confie votre première zone d’affectation. Franchement, même si on peut reprocher, à l’instar de World of Warcraft et de la majorité des Mmorpg actuels, un itinéraire un poil trop scripté, la qualité de l’intrigue, de l’ambiance, et surtout des processus ludiques forcent le respect. Le jeu, à base de classiques quêtes, instances, zones pvp, etc., s’appuient sur un univers au croisement de Fringe et de X Files pour l’ambiance. Il n’est pas d’ailleurs à mettre entre toutes les mains, tant le monde proposé se révèle sombre et désespéré (heureusement que votre avatar est là pour mettre un peu d’ordre dans tout ça). Le gameplay est un peu particulier, et on est quand même bien loin d’un jeu au petits oignons comme la grosse machine de Blizzard (bien qu’avec le temps, la jouabilité ait subi une optimisation la limitant… à quelques touches). Mais certaines phases du jeu, certaines énigmes, procurent des sensations ludiques et des tremblottes émotionnelles bien trop rares ces derniers temps. Certaines quêtes se permettent des petites mises en scène bien glauques, inspirées des classiques de films d’épouvante (la maison noire reste en cela une mission bien sympathique et bien stressante). Dans le registre de l’immersion, un navigateur internet est intégré au jeu, afin d’explorer en temps réel (si cette expression possède une quelconque valeur dans un espace virtuel), les ressources à votre disposition pour trouver l’indice ou les informations nécessaires à l’accomplissement de vos buts. En pratique je me suis retrouvé, par exemple, à récemment rechercher l’alphabet en morse, pour décoder un message sonore trouvé durant une quête, ou à farfouiller le site d’Amazon à la recherche d’un ISBN, lui-même code secret conditionnant l’accès à un ordinateur possédant des ressources stratégiques. L’addition de la richesse scénaristique, de l’univers et de l’ambiance paranoïaque mis en place, de la multiplicité des challenges ludiques, et de systèmes de jeu particulièrement originaux pour ce type de jeu (par exemple, pas de progression de niveau, mais l’accumulation de compétences débloquant des archétypes) font de ce produit ludique l’un des meilleurs Mmorpg du moment.
Sortie sur le modèle d’un abonnement mensuel, les chiffres de vente bien plus bas qu’initialement envisagés, ont conduit Funcom à proposer le jeu en freeplay en fin 2012, soit à la date à laquelle j’ai pris la décision d’acquérir le jeu. Bien que l’entreprise subisse économiquement le contrecoup du relatif échec du jeu (avec un regroupement des effectifs et des licenciements à la clé), le nouveau modèle économique a boosté de près de 400% le nombre de joueurs entre fin 2012 et maintenant, assurant au jeu un tardif succès et une certaine pérennité. Renforçant cette nouvelle vitalité et transformant totalement l’essai en réussite, Funcom vient d’annoncer la sortie de l’épisode 6 dont le déploiement est prévu le dimanche 15 mars. Les premiers abonnés, devenus depuis le changement du modèle économiques des membres premiums, ont donc accès durant trois jours à partir d’aujourd’hui, à ce nouveau contenu, sous certaines réserves tarifaires si j’ai bien compris le mail de Funcom. Enfin, 10 euros pour trois jours d’attente, il y a un pas dans la geek attitude que je ne franchirai jamais.
Le trailer, commenté par le Directeur du jeu, Joel Bylos, est visible sur Youtube, et présente l’ambiance ensoleillée de cette extension, changeant des contrées morbides et des ruelles glauques auxquelles le jeu nous avait jusqu’à présent habitué (enfin j’avoue avoir à peine achevé Kingsmouth… pas prêt de l’étrenner l’épisode 6…). Vous noterez que le thème musical emprunte d’ailleurs l’envolée du thème du héros de Spielberg, une petite note en dessous (une note secrète, quoi !). Que dire également de la nouvelle arme disponible, hommage direct à Indiana Jones : le fouet. Entre la parodie et le clin d’oeil, The Secret World est un jeu qui constamment utilise la culture de nos sociétés modernes et urbaines, pour en dévoiler les plus effarantes facettes, tout en nous permettant de vivre des situations et des ambiances cultes (en faisant Kingsmouth, j’avais l’impression de relire mes vieux bouquins de Stephen King, dont le jeu contient d’ailleurs un ersatz aux initiales similaires, en la personne de Sam Krieg – espérons que King n’est pas aussi taré d’ailleurs).
A moins de 30 euros le jeu, The Secret World possède une richesse de contenu et un nombre d’heures de jeu potentielles qui rentabilise l’investissement. Si vous en avez marre de taper de l’orc ou de chevaucher du dragon, n’hésitez pas.
La vidéo de l’épisode 6 de The Secret World sur Youtube.com :
Tous les détails de ce 6ème épisode de The Secret World sur le site de Funcom.
Le guide de The Secret World par Funcom : découvrez toute la richesse de The Secret World.