Today, en navigant dans les news, je suis tombé sur un article d’atlantico.fr, traitant des messages subliminaux dans les logos. Article qui aurait pu être pertinent, s’il n’avait pas déjà été écrit ailleurs (je n’ose penser ni dire piller), soit sur le site référentiel www.advertisingtimes.fr, que je ne saurais trop conseiller aux experts en communication et marketing pour ses analyses et ses billets littéralement passionnants pour quiconque s’intéresse au concept de marque (brand management pour les anglophones/philes).
L’article en question, donc sur le site/blog advertisingtimes.fr, que je sélectionnerai par le critère d’antériorité (sans chercher d’ailleurs si le contenu n’est pas encore une récupération… la triste culture du copié/collé et les dérives déontologiques attenantes empêchant malheureusement toute certitude…), est intéressant car il dévoile la symbolique, le contenu sémiologique (ou sémiotique) d’un bon logo. Ce qui atteste de la perte de repère, voire de connaissances en ce tumultueux début de XXIème siècle, vu que l’étymologie du mot est en soi une définition. Du grec λόγος, lógos signifie le discours, mais en sus, un discours structuré, s’appuyant sur la raison. Un petit tour sur la page wikipédia dédiée au mot « Logos », vous procurera toutes les informations concernant la puissance d’un terme qui en se vulgarisant, est devenu à la fois un concept universel et un code souvent réduit à sa plus simple expression/vocation identitaire.