C’est l’histoire d’un mec…

…qui joue gros, et qui est payĂ© pour ça. C’est l’histoire invraisemblable d’une justice qui se laisse manipuler et qui penche d’un cotĂ© plutĂŽt que rester Ă  l’Ă©quilibre. Apparemment, c’est une histoire nouvelle qui est en train de nous ĂȘtre racontĂ©e… et qui semble beaucoup plus crĂ©dible que l’ancienne !

Interview Ă©mouvante de JĂ©rĂŽme Kiervel, qui n’y croyait plus, sur le site de l’express :

I’m not in love

J’adore cette version de Diana Krall du tube immortel de 10cc, et vu que j’ai la flemme de chercher dans mes favoris, j’utilise mon blog pour me dĂ©tendre en fin de journĂ©e 😉 et me faciliter la tĂąche !

« Big boys don’t cry… » Et Ă  la fin de la vidĂ©o, n’hĂ©sitez pas Ă  dĂ©couvrir les autres chansons rĂ©interprĂ©tĂ©es par la talentueuse artiste Ă  la voix vacillante, comme Don’t dream it’s over de Crowed House ! « They come to build a wall between us…. »

I’m not in love
So don’t forget it
It’s just a silly phase I’m going through
And just because
I call you up
Don’t get me wrong, don’t think you’ve got it made
I’m not in love, no no, it’s because..

I like to see you
But then again
That doesn’t mean you mean that much to me
So if I call you
Don’t make a fuss
Don’t tell your friends about the two of us
I’m not in love, no no, it’s because..

I keep your picture
Upon the wall
It hides a nasty stain that’s lying there
So don’t you ask me
To give it back
I know you know it doesn’t mean that much to me
I’m not in love, no no, it’s because..

Ooh you’ll wait a long time for me
Ooh you’ll wait a long time
Ooh you’ll wait a long time for me
Ooh you’ll wait a long time

I’m not in love
So don’t forget it
It’s just a silly phase I’m going through
And just because I call you up
Don’t get me wrong, don’t think you’ve got it made
I’m not in love
I’m not in love

Saint Seiya : la légende du Sanctuaire ou How transformers meet Saint Seiya

OulĂ , bonjour cher blog ! Faute de temps, j’ai un peu dĂ©laissĂ© cet espace web virtuel, mais bon, j’ai commis l’erreur fatale d’aller voir le film Saint Seiya : la lĂ©gende du Sanctuaire au cinĂ©, ce jour…

DĂ©jĂ , et ça reste un point de vue trĂšs personnel, qui ne rencontre pas beaucoup de comprĂ©hension de mes congĂ©nĂšres et concitoyens français… je ne supporte pas cette traduction douteuse de « chevalier »… LES CHEVALIERS DU ZODIAQUE ! Non mais, stop DorothĂ©e powa les gars ! Qu’il y a 30 ans, les experts marketing Ă©mettent de doutes concernant la traduction littĂ©rale du mot « saint » dans un pays exemplaire en terme de laĂŻcitĂ©, je peux encore l’accepter… Mais maintenant, dĂ©gager la dimension chrĂ©tienne qui imprĂšgne totalement le rĂ©cit en lui juxtaposant tout une culture mĂ©diĂ©vale qui l’air de rien est hors sujet dans une intrigue qui digĂšre les icĂŽnes de la mythologie grecque, ça me saoule carrĂ©ment.

Alors que j’ai allĂ©grement passĂ© le cap de la quarantaine, je kiffe (notez le verbe faussement d’jeun pour Ă©tablir un contraste un brin putassier et provocant) « Saint Seiya ». « Saint », c’est un terme qui invoque le sacrĂ©, le miraculeux, le vertueux. « Saint » est un terme qui dĂ©signe un hĂ©ros en rĂ©vĂ©lant par avance sa grandeur et son destin hors du commun. Mais bon, on peut pas dire que ce soit encore le cas dans le film minable qui vient de sortir, hein ?! Nan, y a dĂ©finitivement rien Ă  voir avec la sĂ©rie d’antan, avec ses hĂ©ros emplis d’abnĂ©gation qui en bavaient des vertes et des pas mĂ»res afin de sauver leur vĂ©nĂ©rĂ©e dĂ©esse. Oui Monsieur ! Y en avait de l’ascension dans l’ancienne sĂ©rie, de l’Ă©piphanie, de la thĂ©ophanie… du spectacle quoi !

Saint Seiya, c’Ă©tait simplement assister Ă  l’apologie du miracle en dessin animĂ©… Les hĂ©ros se faisaient passer dessus, laminer, dĂ©sintĂ©grer, dĂ©chiqueter… Ă  la fin il invoquait le droit Ă  un gros miracle (avec une rapide priĂšre Ă  AthĂ©na, sans amen), et ils l’avaient. C’Ă©tait beau, Ă©mouvant, poignant, captivant, et unique dans le paysage animĂ© et audiovisuel. Je me rappelle, Ă©mu, Hyoga en train de ramper, rĂ©duit Ă  l’Ă©tat de zombie pathĂ©tique, suscitant la compassion du Saint du Scorpion (changĂ© en femme dans le film en 3d, sans doute pour convenir Ă  des aspirations Ă  la paritĂ© ou simplement parce qu’affubler un dard Ă  une Sainte a peut ĂȘtre Ă©moustillĂ© les scĂ©naristes, je sais pas…)… Je me rappelle Seiya, face Ă  un Aiolia furieux, complĂštement Ă©crasĂ© et dĂ©sespĂ©rĂ© par son adversaire, supplier « une fois, une fois seulement », avoir la force de surpasser son opposant. Je me rappelle Shiryu, dĂ©cidant d’en finir avec Shura dans une belle imitation du dernier lancement de la fusĂ©e ariane. Je me rappelle Ikki empoignant Shaka dans une sĂ©quence nihiliste et qui reste encore l’exemple mĂȘme de la notion de sacrifice. Je me rappelle Shun, maudissant sa propre nature, incapable d’achever un adversaire qui va pourtant le tuer quelques secondes plus tard.

Des moments incroyables, qui montraient des hĂ©ros humains, ravagĂ©s de doutes et de souffrances, trouvant la foi et s’y accrochant comme des puces sur le dos d’un chien Ă  poils longs, prĂȘts Ă  tout sacrifier pour un idĂ©al, un ami, une cause. L’air de rien, des icĂŽnes qui n’ont jamais Ă©tĂ© d’autant d’actualitĂ© Ă  une Ă©poque oĂč la jeunesse est sans cesse moquĂ©e et bousculĂ©e par un systĂšme qui ironiquement les manipule et les transforme en bons petits soldats. Eh, les jeunes, prenez le temps de mater la vieille sĂ©rie, et vous verrez d’autres petits jeunes traitĂ©s de haut par leurs ainĂ©s. Ou alors matez le film, et comprenez qu’on ne vous propose comme philosophie que de l’esbroufe servant Ă  vous tendre un miroir, dont le but est de vous mĂ©tamorphoser en bande de powerangers sous acide. J’ai carrĂ©ment hallucinĂ© en Ă©coutant le discours finale d’AthĂ©na / Saori Kido, qui nous la fait petite fille Ă©lue qui comprend pas mais qui veut bien quand mĂȘme ĂȘtre une dĂ©esse parce que voila, elle a des amis, quoi… Changer le monde, se battre contre l’injustice, c’est trop compliquĂ©, passĂ© de mode, et ça permet pas de faire du marketing direct vendeur de goodies.

Seiya a troquĂ© sa panoplie de combattant infaillible et vertueux pour celle du clown maladroit mais tellement attachant (attachiant ?) ; Shiryu a Ă©voluĂ© en psychorigide maniaque du contrĂŽle, littĂ©ralement assommant ; tandis que Shun et Hyoga sont devenus des beaux gosses interchangeables, aussi lisses que transparents. Reste Ikki, qui a perdu son nihilisme dĂ©sespĂ©rĂ© pour une mĂąle attitude dĂ©complexĂ©e qui ne lui sert plus Ă  grand chose (« oh mince, j’ai perdu ! »).

Alors le souci, c’est que c’est beau, on a l’impression de mater une compilation des cinĂ©matiques de Final Fantasy, et l’univers dĂ©crit n’est pas dĂ©gueulasse… Ă  condition de s’exonĂ©rer de l’ancienne sĂ©rie, de sa richesse tant thĂ©matique que scĂ©naristique, de la caractĂ©risation formidable des diffĂ©rents protagonistes de l’histoire (hĂ©ros comme adversaires), d’une certaine vision de la femme (contrairement Ă  ce que j’ai lu rĂ©cemment, l’ancienne AthĂ©na elle en avait dans la culotte : pour ceux qui ont un doute, je les invite Ă  visionner le refus qu’elle oppose Ă  un PosĂ©idon gĂ©nocidaire), d’une intrigue savoureuse dont l’issue restait incertaine jusqu’aux derniĂšres minutes de la premiĂšre sĂ©rie… Ils ont mĂȘme retirĂ© Ă  Saga sa rĂ©demption ces enfoirĂ©s !

En fait, le film est marquĂ© par l’hĂ©ritage des films hollywoodiens produits ces derniĂšres annĂ©es, la franchise Transformers en tĂȘte (y a qu’Ă  voir le petit canon articulĂ© sur l’Ă©paule de Camus… ridicule). Ca pĂȘte de partout, les armures et les personnages se transforment comme les robots de Michael Bay, et on sent le principe du bigger and louder (rien que la scĂšne d’ouverture laisse dubitatif avec une scĂšne digne d’un shoot them up). Si en sus on ajoute les incohĂ©rences (tiens, Hyoga est maintenant Ă  cotĂ© de Shiryu dans la maison du Cancer), les dĂ©lires comiques (la scĂšne avec Masque de Mort, hommage aux pires moments musicaux des films disney), le design trĂšs tendance tatoo / jeunes bourgeois bobo (le petit anneau dans le nez ou la lĂšvre, les tatouages), et la dĂ©structuration mĂ©thodique de l’intrigue initiale pour coller aux contraintes de temps, il ne reste pas grand chose Ă  sauver de ce navet intersidĂ©ral. Voir le massacre rĂ©alisĂ© dans ce film, c’est un peu comme assister Ă  la trilogie du Lord of the Ring rĂ©duit Ă  un trailer d’une heure trente.

Pour ĂȘtre totalement honnĂȘte (oui, ça m’arrive), ce film est une purge en considĂ©ration de l’Ɠuvre initiale. Mais si vous n’avez pas connu ou aimĂ© la sĂ©rie des annĂ©es 80, sa vision peut finalement ĂȘtre une expĂ©rience sympathique, tout du moins visuellement. Personnellement, je n’ai jamais tant aimĂ© la sĂ©rie initiale, qui demeure dĂ©finitivement un trĂ©sor unique en son genre. Et je ne suis pas un regretteur d’hier comme l’a si bien chantĂ© Alain Souchon, mais juste un gars qui n’a pas retrouvĂ© la saveur de ce qu’il apprĂ©ciait avant.

Je vais personnellement tĂącher de vite laver mon cortex des restes de ce spectacle abĂȘtissant. À l’AthĂ©na geignarde et neuneu du film, je prĂ©fĂšrerai toujours celle qui murmure Ă  un Ikki dĂ©sespĂ©rĂ©, alors qu’elle-mĂȘme git sous la pluie, une flĂšche dans le cƓur : « Non Ikki, ce n’est pas la fin… » Une belle leçon de grandeur et de rĂ©sistance, Ă  laquelle le film n’a su, Ă  aucun moment, rendre hommage.

La fin du combat opposant Shiryu Ă  Shura, pour le plaisir… Rien qu’en entendant la voix du regrettĂ© Henri Djanik, ça me fout les larmes aux yeux T_T

What else ?

Des soirs, on finit de bosser, et on sort prendre un petit pastis sur la terrasse. On mate les oiseaux virevolter (des martinets me souffle-t-on), et on se rappelle des ninjas furibonds en train de sautiller en se croisant et en se bastonnant avec des sabres en bois. C’Ă©tait quoi dĂ©jĂ  , cette sĂ©rie, sortie en vidĂ©o cassette il y a 20 ans de cela, et qui avait un gĂ©nĂ©rique qui dĂ©chirait… ? Ah oui, Fuma no Kojiro ! Une oeuvre de Masami Kurumada, qui parlait d’une guerre entre les ninjas de deux clans, dont l’intrigue ne m’a pas laissĂ© grand chose comme souvenirs… Par contre, des Ă©pisodes dessinĂ©s et animĂ©s par l’immense Shingo Araki, et des gĂ©nĂ©riques dudit maĂźtre qui sont restĂ©s incrustĂ©s dans le fond de ma rĂ©tine. Ah, Asuka Musashi, et son refus de combattre, un hĂ©ros nihiliste comme je les aime ! J’avais juste regrettĂ© Ă  l’Ă©poque, que le premier duel entre Musashi et Kojiro ne soit pas aussi Ă©mouvant que dans le manga. Mais bon, quand je mate les gĂ©nĂ©riques des OAV, je suis nostalgique d’un certain hĂ©roĂŻsme macho qui n’a plus cours de nos jours.

C’Ă©tait bien ces duels Ă  mort entre samourais/ninjas testostĂ©ronisĂ©s.


Petite intro d’un animĂ©, et enfin le gĂ©nĂ©rique Shout de Fuma no Kojiro

 Musashi Asuka versus Shura… Il pouvait pas perdre contre un gars qui a un uniforme rose, faut pas dĂ©conner ^^ – Ah, on me souffle dans l’oreillette que c’est la couleur des fleurs de cerisiers, au temps pour moi. J’adore le passage avec sa sƓur, la thĂ©matique de la fratrie fatale sera reprise plus tard par Kurumada pour le jumeau graphique de Musashi, soit Ikki du PhĂ©nix et son frĂšre Shun. « Musashi, serais-tu un guerrier sans larmes ? ». Imparable. Et merci Ă  Araki pour ce beau moment d’animation, je me remettrai jamais de son dĂ©cĂšs.

Et pour finir le beau gĂ©nĂ©rique Don’t go Away… dont les paroles me rappellent un peu la galĂšre actuelle des intermittents du spectacle… On est derriĂšre vous les gars !

Usurpation d’identitĂ© sur Facebook : Ă  quoi sert la CNIL ?

Suite de l’affaire d’aujourd’hui (usurpation d’identitĂ© d’un proche), je me rends chez G. (l’initiale du prĂ©nom dudit proche) pour la guider dans ses dĂ©marches. Je pensais en avoir pour 5 minutes… j’ai finalement passĂ© deux heures, dont une grande partie l’oreille collĂ©e au tĂ©lĂ©phone.

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RĂ©agir Ă  l’usurpation d’identitĂ© sur Facebook

Des proches ont rĂ©cemment vĂ©cu une expĂ©rience traumatisante par l’intermĂ©diaire de leur page Facebook. ContactĂ© par une connaissance, ils ont Ă©tĂ© sollicitĂ©s, via le tchat de Facebook, pour appeler un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone afin de dĂ©bloquer une situation qui nĂ©cessitait l’entrĂ©e d’un code. Composant, parfois plusieurs fois un numĂ©ro indigo, la gentillesse de mes proches a Ă©tĂ© clairement exploitĂ©e par des escrocs qui n’ont pas hĂ©sitĂ© Ă  usurper l’identitĂ© d’une autre personne pour arriver Ă  leurs fins.

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La sécurité sur internet

Aujourd’hui, excellent article sur la Tribune.fr concernant la sĂ©curitĂ© et la sĂ©curisation des donnĂ©es personnelles, qui fait d’ailleurs Ă©cho Ă  plusieurs articles Ă©crits auparavant sur ce blog ! Je reste convaincu que le trafic de donnĂ©es est en train de devenir une manne non seulement pour les marchands du temple, mais Ă©galement pour tous les escrocs du numĂ©riques qui l’air de rien, peuvent maintenant Ă©largir leur territoire de chasse aux horizons digitaux que les rĂ©seaux sociaux ont dĂ©multipliĂ©.

Je rejoins parfaitement le point de vue de l’auteur de cet article, et il y a tout un pan de l’Ă©conomie numĂ©rique qui doit s’adapter aux enjeux de la gestion des donnĂ©es personnelles… mais, effectivement, il appartient aux consommateurs de faire pression sur les acteurs professionnels pour obtenir gain de cause, ce qui semble, en France, une incantation un peu vaine, tant l’inconscience du public rejoint l’inappĂ©tence de certaines autoritĂ©s pourtant missionnĂ©es pour agir en ce sens.

Sur ces propos sibyllins et doucement vipĂ©rins, qui tĂ©moignent de mon humeur bourrue en ce vendredi pluvieux (comme moi chaque jour – ahah !), bonne journĂ©e !

ps : y a un peu de tout sur la Tribune.fr, comme par exemple un article sur le vote blanc paru hier, qui Ă©tait une suite de syllogismes qui auraient pu ĂȘtre drĂŽles s’ils n’avaient pas fini par jeter lestement la pierre sur l’Ă©lecteur… Mais dans l’ensemble, c’est un site d’informations que je prends plaisir Ă  consulter, et que je conseille vivement.

Internet et libertés, la suite

Comme Ă©crit sur ce blog en 2013, prophĂ©tie facile je vous l’accorde, la sĂ©curisation, l’accĂšs et la gestion des donnĂ©es personnelles vont devenir les sujets phares par rapport Ă  Internet, cette annĂ©e comme les prochaines Ă  venir. Il faut dire qu’un Ă©norme business s’est crĂ©Ă© justement sur la mĂ©connaissance du public des ressorts et moteurs du web.

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Internet et libertés

Belle affaire aujourd’hui, avec la condamnation du blogueur Bluetouff pour… Difficile de terminer cette phrase sans tousser un peu. Vol ? Maintien frauduleux (!) ? Reprendre les termes prĂ©cis utilisĂ©s par la justice française serait quelque part assez fallacieux. Pour voler, si on rĂ©flĂ©chit Ă  la dimension technique qu’induit l’acte en lui-mĂȘme, il faut qu’il y ait effraction, soustraction, et sans nul doute un gain quelconque, qu’il soit financier ou matĂ©riel. Bluetouff, aka Olivier Laurelli (que je cite exprĂšs, vu qu’en terme de preuve on a invoquĂ© l’anonymat confortable de cet internaute Ă  la vie pourtant trĂšs publique – son identitĂ© apparaĂźt Ă  la moindre recherche sur le pseudonyme…) a en fait tĂ©lĂ©chargĂ© des Ă©lĂ©ments, des documents, en les rĂ©cupĂ©rant sur le site internet d’une institution publique. Ben non, en fait elle Ă©tait publique mais pas pour le public. Et oui, la dĂ©mocratie parfois c’est un peu compliquĂ©e.

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